Ambiance nature
50 shades of green
Quand on survole la Nouvelle-Zélande en avion, ou qu’on la parcourt en voiture, c’est à un festival de verts que l’on assiste ; le vert fluo de l’herbe des collines tellement rondes qu’on dirait des maquettes d’architecte paysagistes, le vert sombre des forêts, le vert pomme aux reflets argents des fougères arborescentes – ces « silver fern trees » du maillot des All Blacks, le vert émeraude des lacs de montagne, le vert du jade qui décore les cous, les oreilles ou les poignets des maoris. Forcément, faut pas s’étonner ensuite d’avoir plusieurs jours de pluie dans son séjour, c’est pas tout vert pour rien.
Le ciel le plus étonnant du monde
Il se trouve – vous n’allez pas nous croire – au fond d’une grotte ! Une grotte qu’on trouve tout d’abord très classique, pleine de stalagmites et de stalagtites, et que nous avons atteinte après une longue marche puis la traversée d’une rivière. Mais une grotte pleine de… vers luisants! Ou plus exactement de larves dont le derrière est fluorescent. C’est absolument stupéfiant. Certes, Waitomo est très touristique, tout est très organisé, nous n’étions pas seuls au monde. Mais ce petit moment loin sous la terre, sur une barque lentement dirigée par une jeune maori s’accrochant à une longue corde, dans le noir complet et le plus grand silence, sous une voûte brillant de centaines de petites étoiles bleues vivantes, c’était magique. On a même cru repérer Cassiopée…

La montagne ça nous gagne… par tous les temps
C’était un vrai défi : faire la célèbre randonnée du Tongariro Alpine Crossing, qui tourne autour du volcan Ngauruhoe pendant toute une journée, et sur près de 20km. On a retourné le sujet dans tous les sens pour imaginer l’organisation possible à 5 – on avait décidé d’épargner à Suzie une balade trop longue et trop dure qui risquait de lui faire détester la montagne pour un bon bout de temps. Alors on a décidé de splitter le groupe. Caroline et les garçons ont monté le Tongariro un dimanche, et Marc a fait l’ascension le lendemain. Résultat : deux expériences complètement différentes en raison d’une météo inversée, mais aussi intenses l’une que l’autre.
- Pour le premier groupe : un temps idéal – soleil qui chauffe en bas mais grand vent frais au sommet, un départ tardif qui a permis une balade sans trop de touristes, des arrêts très réguliers pour « halluciner » – désolée, pas d’autre mot- sur les panoramas alentour, et 8h30 de marche à la fin (32 000 pas d’après Google Health, mais ça nous a paru nettement en-dessous de la réalité!). Une ascension très longue, un très bon moment partagé. Et pour tous nos lecteurs qui aiment les belles cordées, il y a bien davantage à lire et à voir dans cet autre article.
- Pour le randonneur solitaire, autre jour autre ambiance : un départ à 8h avec un bus de djeunes, plus de 400 touristes doublés jusqu’au sommet, par un temps excécrable. 2 mètres de visibilité au mieux, un froid polaire et une pluie fine non-stop. Marc n’a vu ni cratère ni sommet et deux lacs seulement sur 4, mais a bouclé le Crossing en 4h20, une superbe perf réasliée en pleine forme et avec enthousiasme, en mode « challenge de sportif quarantenaire ». Ça fait tellement de bien de grimper ! Seule déception : à cause de la purée de pois au sommet, Marc n’a pas pu trouver le message laissé la veille par ses garçons sous un rocher…
- Épilogue : et quand il fait vraiment trop mauvais… on fait de la montagne en intérieur. Quel bon moment que cette fin d’après-midi pluvieuse passée à assurer nos trois chamois, super motivés et à l’aise sur les parois de la salle d’escalade de notre auberge de backpackers. Rendez-vous sur les rochers de Fontainebleau ou à Mur’Mur à la rentrée!

L’odeur la plus chelou du monde
Alors ça n’est pas exactement de l’œuf pourri. Ou plutôt pas seulement. Il y a aussi clairement des relents de poubelles, ou de flatulences de dragon pour le dire de façon plus imagée. C’est une odeur très lourde et écoeurante. On l’a sentie non-stop pendant les 3 jours passés dans la région de Rotorua. Où qu’on aille dans cette ville – même à la bibliothèque municipale, on baigne dans les odeurs de dioxyde de soufre. Au bout d’un moment, on s’y habitue, mais parfois, en déambulant dans de petites rues on est surpris de trouver une source brunâtre bouillonnante, d’un seul coup les narines sont assaillies par ces relents pestilentiels et le cœur se soulève. Mais on n’en regrette pas pour autant les pots d’échappement…
Quand la Terre respire
Comme vu plus haut, elle ne sent pas toujours bon de la bouche, notre belle planète. Mais en tout cas, en Nouvelle-Zélande, on voit à quelle point elle est vivante. C’est le pays où les 4 éléments interagissent sans arrêt, dans un ballet incessant d’eaux bouillantes, de gaz et de feu qui sortent de la Terre, et de couleurs absolument étonnantes. On a parfois peine à imaginer que c’est la nature seule qui crée ses paysages que l’on dirait tout droit sortis de la palette d’un peintre à la folle imagination. Qui d’autre pourrait inventer un lac vert fluo comme celui du gouffre de l’enfer, ou une déclinaison d’ocre, de bleu et de jaune comme celle de Wai-o-Tapu? En voyant ces lacs brûlants nimbés de vapeur d’eau ou les cratères béants d’où s’échappent en permanence des fumées blanches et des grondements inquiétants, on se souvient de l’Agung. Petit à petit pendant ce voyage, on comprend vraiment mieux pourquoi de si nombreux peuples, des Balinais aux maoris débarqués de Polynésie en Nouvelle-Zélande, ont considéré les volcans comme des divinités. Comment expliquer autrement que par la colère des dieux l’éruption d’un volcan ou d’un geyser géant qui a tué des dizaines ou des milliers d’êtres humains? Ça fait très cliché, mais depuis notre départ on se sent bien souvent très petits face à la puissance de la nature.
La petite trouvaille hypnotique
Nous avons fait une découverte rigolote devant les très fameuses Huka Falls. Ce sont des chutes d’eau très impressionnantes, avec un début gigantesque : plus de 200 000 litres d’eau s’en déversent chaque seconde. Les chutes peuvent remplir l’équivalent de 5 piscines olympiques en une minute ! Le spectacle est magnifique, on n’arrive pas à détacher ses yeux de l’eau qui dégringole sans discontinuer. Et après avoir fixé l’eau pendant une trentaine de secondes, si vous regardez la rive, toute la montagne semble reculer vers les hauteurs. Vous connaissez peut-être le truc depuis toujours, mais nous on a découvert ça tout seuls, à 43 ans pour certain d’entre nous. Ça nous a beaucoup plu alors on a fait l’expérience pendant vingt minutes, juste le temps de nous filer un bon mal de crâne. Une petite animation gratuite et imprévue qui a ravi les enfants, de quoi faire un petit cours en live sur les illusions d’optique qui arrivent à tromper notre cerveau.

Quand l’Homme joue au roi des eaux
Autant les Huka Falls sont archi méga connues (la première destination touritique de Nouvelle-Zémande), autant les rapides d’Aratiatia sont secrets. Il s’agit d’un cours d’eau asséché, qui se remplit 4 fois par jour lorsque le barrage situé juste au-dessus ouvre ses portes pour lâcher son trop-plein. Nous avons donc assisté au remplissage articifiel de superbes chutes d’eau. Le cours totalement sec de la rivière est devenu en 15 minutes le réceptacle de gigantesques rapides en furie. Et après la fermeture du barrage, tout redevient calme. Un spectacle rare et impressionnant !

La (désormais classique) rubrique animalière
En Nouvelle-Zélande, nous avions bien l’espoir de rencontrer le platypus local – c’est-à-dire un animal endémique et emblématique du pays, mais qui est quand même très bizarre – autrement dit le KIWI. Comme l’ornithorynque, c’est un animal nocturne, il est donc impossible de le croiser par hasard dans les rues ou même les forêts de Nouvelle-Zélande. On a croisé une Néo-Zed de 45 ans qui nous a dit n’en avoir jamais vu. Bref, nous avons donc été dans une réserve spécialisée dans les kiwis, près de Rotorua. Le kiwi est une espèce protégée, et la réserve de Rainbow Springs a lancé il y a 15 ans tout un programme pour sauver les kiwis menacés par d’ignobles prédateurs comme les furets, les chiens ou les possums. Ce sont les oeufs et les bébés kiwis qui sont les plus vulnérables dans la forêt – d’autant plus que les kiwis adultes, ces parents indignes, ne surveillent pas leurs oeufs ! Du coup les équipes de Rainbow Springs ramassent en forêt les oeufs abandonnés et les placent en couveuse dans la réserve. Nous avons pu visiter la couveuse et la nurserie, et coup de chance incroyable : Glee, un bébé kiwi de 8 jours en sortait, prêt à passer sa première nuit dans les enclos à kiwis de la réserve. La vétérinaire nous l’a mis sous le nez en nous disant « hey guys, enjoy, a priori vous ne serez plus jamais aussi proche d’un kiwi dans votre vie! » (mais après tout… who knows?)

Le saviez-vous?
Si c’est le cas, bravo. Sinon, cette gazette vous aura au moins appris quelques infos sur les kiwis, super utiles à replacer pendant un silence gênant lors de votre prochain dîner mondain.
- l’oeuf du kiwi est le plus gros du monde, proportionnellement à la taille de la femelle. Il peut occuper jusqu’à 20% de son corps, respect. On comprend mieux que Dame Kiwi, une fois cet ONNI (objet nidifiant non identifié) sorti de son corps, ne puisse plus le voir en peinture. Du coup, c’est le mâle qui le couve, mais pas longtemps.
- le kiwi a des moignons d’aile invisibles, pas de queue, et il est aussi myope qu’une taupe. En revanche il a un odorat très performant (cf point suivant)
- le kiwi est le seul oiseau dont les narines se trouvent… au bout de son bec, qu’il a fort long d’ailleurs. Grâce à cela, il peut renifler un ver de terre -son fondant au chocolat perso- jusqu’à 10cm sous terre.

L’expérience unique
Après la visite des coulisses de la nursery des kiwis, nous sommes revenus, de nuit, pour tenter d’apercevoir les oiseaux dans leur habitat. Il faut donc nous imaginer tous les 5, dans un petit couloir à l’air libre serpentant au milieu d’enclos fermés d’un côté de grandes grilles et de l’autre côté d’un petit muret d’un mètre, en pleine nuit, sans lumière et surtout… sans bruit. Là il faut attendre un peu que les yeux s’habituent à l’obscurité, et il faut tendre l’oreille. On s’agenouille au niveau du muret, et on ne bouge plus. On attend. Quoi ? Un signe. Soit un petit bruit de farfouillement, doublé d’un reniflement/soufflement, qui annoncent le kiwi qui gratouille dans la terre avec son long bec à la recherche des vers de terre. Soit un mouvement de feuilles au fond de l’enclos : ça bouge par là mais c’est pas très clair, il faudrait des lunettes infra-rouges comme dans les jeux vidéos.
Et puis tout à coup, on aperçoit la silhouette d’une grosse boule noire qui court furtivement d’un arbre à l’autre. C’est un kiwi ! Une grosse boule donc, perchée sur deux longues pattes et prolongée d’une autre boule –la tête- et d’un immense bec. Tête baissée, la dite boule se déplace très rapidement, en roulant des épaules -qu’elle ne possède pas. On dirat un voleur qui se sauve en tapinois après un cambriolage. On a pensé aux frères Rapetou – sorry, en Tour du Monde on a les références littéraires qu’on peut… – s’échappant du coffre de Picsou après un énième forfait. En tout cas, on a eu beaucoup de chance car les kiwis se sont approchés plusieurs fois tout près de nous. L’un d’eux a même posé son bec sur le muret, à 3 cm de la main de Nino épaté ! On se sentait à la chasse au dahut, sauf queue dahut-là n’est pas une légende, nous l’avons rencontré. Nous n’avons pas repéré Glee, le bébé qui vivait son baptême nocturne, mais cette soirée de guettage des kiwis restera comme un souvenir extra de ce pays.
Ambiance découvertes
On n’a pas réussi…
à échapper à la visite touristique maorie. En restant si peu de temps, nous n’avons pas eu la possibilité de rencontrer et discuter vraiment avec des Néo-Zélandais d’origine maorie. Nous avons en tout cas observé qu’ils étaient beaucoup plus présents et visibles que les aborigènes d’Australie. Les chefs maoris, lors de l’arrivée des Européens, ont tout de suite transigé avec eux pour ne pas se faire voler leurs terres. Du coup, un très grand nombre de villes néo-zélandaises portent des noms polynésiens, et la culture maorie est très présente. Il existe de très nombreux villages maoris organisés tous de la même façon avec une grande salle commune au centre, un cimetière dont les tombes ne sont pas enterrées (à cause des tremblements de terre) et des points de rassemblement.
Dans ces villages où des visites sont organisées pour les touristes, les maoris ne chantent évidemment pas toute la journée le haka torse nu, mais on peut y voir des représentations de chants et de danses traditionnelles. Notre visite n’a pas duré longtemps car il pleuvait des cordes et qu’on n’était pas hyper du concept, mais le spectacle de danse et de haka a beaucoup marqué les enfants, comme quoi…
En revanche, un souvenir très sympa pour tous les 5 c’est ce petit morceau interprété par des musiciens de rue très cool, jouant des mélanges de reggae et de haka maori.
Au pays de l’anneau
Bien sûr, au milieu de paysages dignes du Mordor ou des vertes collines de la Comté, on a pensé tous les jours à Gandalf, Frodon, Pippin, Sam, Legolas et tous les autres, mais on laisse Lucas et Nino vous raconter leur Terre du Milieu.

Et le rugby dans tout ça ?
Vraiment dommage, il n’y avait pas que du cricket cette semaine-là à l’Eden Park. On l’a quand même vu le stade mythique sous la pluie, et on a suivi de très loin les déboires tricolores dans le tournoi des VI nations. On reverra les All Blacks à Paris 😉

Les rencontres
la plus inattendue : se trouver nez-à-nez, au milieu du cratère Sud du Tongariro, avec une amie de ses parents qu’on connaît depuis toujours ou presque, ça fait un sacré effet ! On savait que Marie et Bernard de l’Haÿ-les-Roses voyageaient à peu près en même temps que nous en Nouvelle-Zélande, mais rien de plus. Si on avait voulu arranger cette rencontre à l’avance, sûr qu’on n’y serait pas parvenus 😉 Le monde est petit, tout petit, vraiment petit.

la plus TDM : la rencontre, dans notre guesthouse de Tongariro, avec Emmanuelle et Nicolas, deux backpackers néo-calédoniens, qui ont fait un tour d’Amérique du Sud il y a deux ans avec leurs deux enfants, et surtout À VÉLO! Ce qui est drôle, c’est qu’on avait vu passer leur vidéo de présentation en cherchant des infos sur les tours du monde en famille. On a passé une super soirée avec Emmanuelle et Nicolas qui nous ont donné plein de bons plans au Pérou et au Chili, et avec Michelle, du Connecticut, qui roule toute seule sur les routes de Nouvelle-Zélande avec son vélo poids lourds…

la plus « on se revoit bientôt ? » : devant le Lady Knox, geyser emblématique du parc Wai-o-Tapu, on a rencontré Marisol, américano-équatorienne, Yousouf, américano-guinéen, qui habitent avec leurs trois enfants à Lima. On a beaucoup parlé et beaucoup rigolé avec cette famille trop sympa. Et Suzie s’est trouvé une nouvelle grande soeur. On s’est donné rendez-vous fin juin dans la capitale péruvienne avant de prendre notre avion pour le Mexique. Small small world, once again !
Les infos en vrac
- Le grand retour du platypus
Craquage total à l’aéroport d’Adelaide : chaque enfant est reparti avec une peluche trop cute. Et Lucas a choisi un ornithorynque tout doux. Sans rancune, donc, cher Platypus 😉

- Il fallait bien que ça nous arrive
On va dire ça comme ça. Donc voilà, ça y est ; on a vécu notre premier vol pendant ce tour du monde ! Pas un vol de montgolfière, hein, parce que ça on l’a déjà fait. Et pas grave, surtout, ouf. Après avoir été dépouillés de tous nos légumes en Australie (épisode 13 de la gazette), nous nous sommes fait voler tout notre sac de nourriture, ainsi que notre petite glacière bien pratique et souvenir du Parc Kruger. Tout était dans le frigo de la cuisine collective du camping. Adieu veau, vache, ricotta, pousses d’épinards et autres camemberts aux abricots – celui-là on ne le regrettera pas, c’est une spécialité locale pas ragoûtante. En revanche good news : ils n’ont eu ni la pâte à tartiner bio ni la bouteille de Shiraz qu’on gardait dans notre chambre. Pas fous les Français. Bref, ça nous a contrariés 10 minutes et on est passés à autre chose, en étant surtout soulagés qu’il ne s’agisse ni de nos passeports ni de notre CB ni de notre ordi (en même temps, on ne laisse ni nos passeports ni notre CB et encore moins notre ordi dans les frigos collectifs des campings). Mais on n’avait pas prévu que les enfants seraient si impressionnés par ce petit incident, Nino a eu peur des voleurs plusieurs nuits de suite….

- Les trucs qui nous ont surpris en NZ
- Dans chaque guesthouse et chaque camping où nous avons dormi, nous avons dû payer l’accès au réseau wifi. c’était une grande première pour nous dans ce voyage, nous n’avions jamais vu ça.
- Les Néo-Zélandais sont fiers et heureux de vivre dans un pays hyper nature et écolo, mais ils distribuent plein de sacs plastiques à la caisse des supermarchés. Les enfants n’en revenaient pas.
- Girl Power en NZ
Big up pour la Premier Ministre Jacinda Ardern qui, à 37 ans, a remporté une superbe victoire surprise lors des dernières élections, et qui a annoncé un mois après sa première grossesse. C’est son mari qui s’occupera de l’enfant après sa naissance pour que Jacinda continue à diriger le pays. Et d’après les éditos qu’on a lus, elle s’en sort super bien.
Voilà, la Nouvelle-Zélande ce fut court mais tellement rempli qu’on va prendre date pour revenir. Maintenant, à la moitié de notre voyage on s’apprête à découvrir une région qui nous fascine depuis longtemps mais où aucun de nous n’a jamais posé le pied : l’Amérique du Sud. A Buenos Aires nous allons réviser et/ou apprendre l’espagnol, goûter de vraies empañadas et… retrouver la familia! Vamos !
Caroline, Marc, Lucas, Nino et Suzie

bravo! vous avez l’air tellement heureux. Caroline je ne t’ai jamais vu aussi bronzée au bureau 🙂 je suis tout vos périples depuis le début et je ne m’en lasse pas. Bravo aux legos aussi sur Instagram : quelle imagination!!!
Stéphanie-ex collègue de travail
Merci pour ce « panorama » néo-zélandais très complet.
Nous ne connaissions pas et avons appris, grâce à vous, plein de choses passionnantes (Kiwis…).
Vous savez tous si bien les raconter, avec toujours autant de gaieté, de piquant, de légèreté…Merci !
Bravo, bravissimo pour la fabuleuse et courageuse traversée du TONGARIRO ! Nous avons adoré l’article de Caroline et ses photos aux couleurs exceptionnelles. -Tu avais, à juste titre de quoi être fière de tes fistons, chère Caroline !-
Nous vous souhaitons de merveilleuses découvertes sur le continent sud-américain, notre préféré…Pour les couleurs, vous ne serez pas déçus ! Sud-Lipez Bolivien, avec ses Laguna Colorada etc…, Salars d’Uyuni & Co, à ne rater sous aucun prétexte !
Belle aventure sud-américaine à vous cinq ! NOEPHI
Très beau reportage et magnifiques photos qui donnent envie …une fois de plus…de découvrir ce lointain pays.
Encore bravo les garçons pour votre ascension!
Bisous
Heureuse que ce bout de terre polynésien vous ait tant marqués ! Et merci encore et encore de le partager si bien, je vous embrasse fort
Wouawouh! 10 jours mais intenses!C’est dingue de voir de telles splendeurs naturelles! Merci pour cette belle gazette!!
Bisous
C’est tellement plaisant de vous suivre, de vous lire. Je prends tout de suite rendez-vous pour vos sensations sur un nouveau continent.